Jeudi 25 juillet
N : Salut ; on est toujours à Luxia. C’est la pause. On ne fait pas grand-chose, mais ce matin on est allé prendre notre petit déjeuner dans un bar.Il y avait beaucoup de monde mais on a réussi à s’asseoir à une table. J’ai pris une gaufre au chocolat et un jus d’orange. On a laissé la place et nous sommes allées direct prendre un papier (notre diplôme) parce que celui de Muxia est hyper beau. Puis retour à l’hôtel pour vite repartir avec nos pique-nique (truc qu’on a acheté vite fait), pour aller à la mer, il y avait un peu de monde, c’est en tous cas une très belle plage. Après être restées pas mal de temps, on est reparties à l’hôtel vers 17h parce que je commençais à cramer, des coups de soleil aux jambes, juste trop ch.. ça me brûle de ouf. Puis on s’est douchées et à 20 h j’ai rejoint Kenia dans un restaurant. J’ai pris un hamburger au poulet avec un supplément de frites. J’ai tout mangé en même temps j’avais très faim. Après dodo avec le livre audio.
Vendredi 26 juillet
N : Salut ! On s’est réveillées vers 8h30 car on doit libérer la chambre à 11h, donc on a eu le temps de ranger nos sacs (vu qu’on s’étale h24), on a fait les courses pour le midi et le soir. On s’est installées sur un muret près de la mer pour manger vite fait, genre des bananes et des pêches. Celles de Kenia avaient le goût de lessive (mdr), mais elles étaient bonnes. Puis d’un coup on voit notre ancien, celui dont je vous ai longtemps parlé ; je l’ai reconnu direct avec son habit et surtout sa casquette. Malheureusement, ça sera la dernière fois qu’on le voit, car il repart en Corée. Mais on a notre dernier souvenir : il nous a reconnues, c’était drôle, il nous a sorti de son sac deux bières (mdr) et il a pris une bière pour lui (pas étonnant) et quand il est parti, comme on a oublié de faire une photo avec lui, on l’a rattrapé rapidement et on a pris la photo avec les deux canettes ; c’était très drôle. Vers 13h, on est allées au même restaurant qu’hier et pris le même menu, puis nous allons à l’arrêt de bus. On en a pour 2h pour aller à Santiago. Il faut savoir le mec genre le chauffeur était en apprentissage parce qu’il y avait un mec qui était à côté de lui et qui lui disait comment faire. La route s’est mieux passée pour ma part, j’étais crevée, alors que je n’ai rien foutu, mais au moins j’ai un peu dormi. Arrivées à Santiago, on a voulu prendre nos bagages et là le truc se lève, on attend qu’il monte jusqu’au bout et là on ne sait pas pourquoi, le truc se referme d’un coup, heureusement Kenia et la dame qui était à côté et moi, on a reculé, sinon on serait dans un mauvais état. Il manquerait plus que ça. Bref on devait prendre un bus pour éviter de traverser Santiago pour récupérer le colis de Kenia. Sauf qu’au final, on a tout fait à pied et on n’a pas dormi à Santiago mais à 45 mn de là pour aller dans une auberge pas chère. Il faisait tellement chaud ; les températures augmentent. L’auberge est remplie ; ce soir, je ne mange pas, manque d’appétit, ça viendra plus tard.
Samedi 27 juillet :
N : Salut ! Aujourd'hui, on va à Arca. C’est donc à 20 km. A partir d’aujourd’hui, on sera en sens inverse. Dès le matin vers 7h30, il y a une épaisse brume sur les arbres au loin. Dès le début, on voit énormément de monde aller à Santiago. On passe de forêt en forêt en rencontrant du monde. La marche se passe bien. A Arca on attend jusqu’à 13h l’ouverture de l’auberge. Tout le monde attendait juste en face, on a fait pareil, la queue, puis on est allées dans les chambres. C’est un peu collé-serré mais ça va. On fait les courses bien plus tard et je mange. A côté de moi, il y a un mec qui parle français. On a discuté un peu. L’heure de dormir approche, je repose la liseuse à 22h. Il y a tout un sketch sur la lumière automatique ça m’a fait rire, mais malgré tout, des heures de sommeil en moins. Le mec à côté de moi a tout débranché pour éteindre, ça va plus vite et comme il dit “la discothèque s’est finie”. C’était très drôle mais ch…
Dimanche 28 juillet
N : Je marche seule. On se réveille vers 7h pour partir à 8h. La veille j’avais fait un papier pour écrire les villages où on allait… donc le but, c’était que chacune parte seule et se rejoigne dans un supermarché à Arzua. On ne s’est pas arrêtées là au final on est allées à Ribadiso où l’on devait se rejoindre dans un bar/café dans un village. Le mec d’hier m’a dit “impossible de te perdre, il y a toujours du monde”. Souvenez-vous de ça c’est très important. Alors au début, je marche donc seule, pas bien compliqué. A un moment, je rejoins une meuf qui était devant moi (on est que 3 à faire le camino del Norte), les autres, c’est Santiago. Bref, on est un peu perdues, mais on arrive à retrouver le chemin. Je croise Kenia, mais je dois continuer. On passe par une forêt et tout de suite par un autre chemin qui indique de continuer dans une montée raide, puis on passe par de grandes routes. J’ai oublié de dire, mais à ce moment-là, plus de pèlerins, donc devant moi, j’ai un rond-point avec plein d’indications et là je vois un panneau avec écrit Arzua. Je décide de le suivre, mais c’est une autoroute et quelques mètres plus loin, je me dis “non retourne au rond-point, tu fais n’importe quoi”. Et effectivement, je vois Kenia au loin dans un autre chemin. Il faisait très chaud. Bref, je passe devant, zéro indication et zéro pèlerin, mais je continue jusqu’à un village où une dame m’indique le chemin. Pour l’instant, ça va. Je vois que Kenia est derrière, bien derrière, puis on est un peu sur la route et de là je vois beaucoup de pèlerins donc c’est cool, je sais où aller. Je vois le bar, quelques minutes plus tard Kenia me rejoint. Elle prend une eau gazeuse, moi pareil, plus deux photos du toast, du pain grillé avec du beurre, j’avais très faim.
Juste après je dois repartir seule pour se rejoindre au supermarché. Pour l’instant, je dis bien pour l’instant zéro problème ; il y a énormément de pèlerins, carrément des troupes. Beaucoup d’entre eux sont très étonnés que je fasse le chemin inverse parce que je suis la seule à aller à l’inverse d’eux. Ça se manifeste avec des regards étonnés, des questions s’ils ne sont pas perdus ou tout simple “qu’est-ce que tu fais là ?” Bref, je continue, je vois des personnes souffrir comme jamais. A un moment, je ne vois plus de pèlerins et je prends un chemin où juste à côté il y a une grande route, un hôtel et à côté un supermarché. Je décide d’attendre Kenia là, puis je me dis c’est chelou comme endroit, je vais l'attendre dans le chemin où j’étais en mangeant plein de trucs. Mais je vois plein de pèlerins dans un autre chemin. Je retourne sur le chemin où j’étais et j’interpelle quelqu’un en lui demandant où était mon chemin. Il me dit c’est dans ⅔ km, je passe par un autre chemin un peu en montée. La galère arrive ; en bref je ne fais que me perdre, je ne sais même pas où est le supermarché. Je demande à beaucoup de personnes. J’appelle Kenia ; je trouve enfin le supermarché avec le mot de Kenia qui m’indique la direction. Mais malgré ça, je me perds encore. J’ai tout redescendu et tout remonté par la suite. J’ai enfin trouvé mon chemin et l’autre mot de Kenia. Un vieux mec m’a fait la bise trop chelou (mdr). Bref enfin j’arrive à l’auberge. Kenia est arrivée à 13h, mois à 16h. J’étais crevée, mais je suis bien arrivée et ça m’a fait bien rigoler.
Lundi 29 juillet
N : Hey ! Aujourd’hui Kenia part devant. J’ai passé une bonne nuit mais courte. Vers 8h, je pars donc seule comme hier, même pas 20 mn après l’auberge, je me perds. Je prends un chemin genre une colline qui après descend sur une forêt. Heureusement, je fais demi-tour, je monte tout. J’étais exaspérée à ce moment-là. Je vois des pèlerins, donc grâce à eux je sais que c’est ici. On s’était dit hier, qu’on s’attendrait dans un village. Sauf que j’arrive dans un village (j’avais suivi les pèlerins comme on a l’habitude de faire) mais on ne devait pas passer par là. J’ai croisé un chien et pour vous dire j’étais encore tellement désespérée que j’ai quand même parlé au chien pour lui demander où était mon chemin (mdr). Je continue jusqu’au village et là je vois beaucoup de monde. Je décide d’aller demander absolument à tout le monde. Personne ne sait où c’est, ni les villages où je passe, ni le village où je devais aller. On me dit que c’est de l’autre côté et que personne savait qu’il y avait des flèches bleues, mais elles sont rares. Moi, je décide de continuer mon chemin au lieu de faire sens inverse. Sauf que je me perds une deuxième fois parce qu’un mec m’a dit de prendre ce chemin et que c’était pareil et que c’était bien là. Heureusement, je fais demi-tour sous la chaleur. Je me retrouve au même point dans la forêt. Je ne comprends plus rien. Il y a beaucoup de pèlerins de tous les chemins. Alors je me dis, mais quel chemin prendre ? J’interpelle deux personnes pendant 1h ; ils ont essayé de comprendre où était le chemin pour moi ; quatre pèlerins au final à essayer de trouver une solution. Au bout d’un moment, une meuf m’a donné son numéro au cas où ; elle s’appelle Sonia. Elle a trouvé une solution ; je passe par un chemin où ils sont déjà passés et juste même pas à un kilomètre, il y a un village où je pourrais demander de l’aide. Je passe dans un bar ; je demande à une dame qui me dit que pour retourner de là où je viens, il faut 30 km. Impossible ! mais un mec du bar me dit qu’il retourne en voiture à l’auberge ce matin, donc à Ribadiso ; il peut m’emmener. C’était la seule solution pour moi, en plus il connaît les gens du village et la meuf du bar m’a dit qu’il a deux enfants ; bref sans danger. Je le suis, je discute avec lui, il s’appelle Miguel. Il voulait que je retourne à l’auberge à Ribadiso mais je lui explique que c’est impossible alors il m’a emmenée à Arzua où il me dit qu’il y a un bus. Sauf que le bus arrive à 18h. J’avais un peu peur parce que c’est tard 18h Je le remercie et il part. J’étais très fatiguée et grave désespérée (mdr). Je discute avec une dame sur le fait que je suis perdue. Elle m’a payé un verre d’eau gazeuse. C’était pas prévu, je voulais payer de ma poche. Une autre dame arrive et elle trouve une solution, le taxi, sauf que c’est 45 € et que je n’ai que 20 €. Et là, elle me sort 45 € et elle me dit “je te paye le taxi” ; j’étais hyper surprise. Je voulais en échange donner mes 20 € ; elles n’ont pas voulu, elles m’ont aussi pris deux churros. Je les ai beaucoup remerciées. Elles étaient très gentilles et bienveillantes. Le taxi arrive 10 mn plus tard et m’amène à ma destination et juste devant le monastère où l’on devait dormir. Je trouve une chambre ; j’ai payé, mais je ne voyais pas Kenia. J’essaye de l’appeler avec l’aide des gens mais ça ne répond pas. A 17h, j’étais grave inquiète mais je vois qu’elle était assise juste devant l’auberge en attendant que le mec ouvre. J’étais hyper soulagée. On a beaucoup ri et surtout Kenia quand j’ai raconté tout ça. On a mangé dans un restaurant une pizza. Kenia m’a donné deux cadeaux pour me féliciter (mdr). Un petit savon en forme de sphère trop mignon et une tablette de chocolat ! De retour à l’auberge, j’ai parlé à une dame mais après dodo.
30 juillet
N : Salut à tous ! Je marche cette fois avec Kenia au début de la marche. Il fait chaud. Mais après de nombreuses heures de marche, je passe devant, avec cette fois le téléphone pour le GPS..Kenia elle fait une pause. Bon vous avez peut-être deviné, mais je me suis paumée. La 1ère fois, c’était au tout début, j’ai pris un chemin qui partait à gauche sur une longue route dans la forêt, mais je me suis rendue compte que ce n’était pas là parce que j’avais réussi à comprendre un peu la flèche. J’ai fait tout le chemin à l’inverse (j’en ai pris l’habitude). A ce moment-là, Kenia m’appelle. Donc oui, effectivement c’était à droite et en plus ça monte. En ce moment en Espagne, les températures sont de 30 à 33°c l’après-midi. Bref, donc je regagne le chemin. Ça monte ; Kenia m’appelle souvent et m’écrit des messages pour le repérer. Sauf qu’à chaque fois je me perdais à l’endroit où elle me disait. Je m’assois pour me reposer sauf qu’à chaque fois, je me perds. A un moment, je vais dans un village et direct il y a une auberge, je devais prendre à gauche pour longer la rivière. Déjà à peine dans le village qu’un chien sorti de nulle part voulait m’attaquer (mdr). Puis je suis allée à gauche et j’ai continué à marcher et à monter sans avoir l’ombre de la forêt. Je me suis dit “mais sérieux où je suis,”. A ce moment-là, j’ai plus d’eau, j’arrive en haut d’une sorte de colline. Il y a 10000 chemins autour. A ce moment-là la déprime totale (mdr). Je me suis encore perdue dans une forêt et j’avais toujours pas d'eau. Jusqu’à ce que Kenia au bout du fil trouve une solution et me dit qu’il y a un village en descendant la route qui était à 2 km. J’ai repris mon sac parce que oui j’étais tellement désespérée que je me suis dit que j’allais pas y arriver et que c’était peut-être mieux de dormir dans la forêt. Malgré tout, je remotive un peu. Dans ce village, j’y vais pour avoir de l’eau. Je rentre dans une maison d’un mec qui me remplit ma bouteille et m’offre un coca. Il me fait visiter sa maison, trop chelou. Après je repars pendant 1h encore de marche pour arriver à l’auberge. Je ne me suis plus trompée et j’ai eu régulièrement Kenia au téléphone. Je suis arrivée à l’auberge à 17h30. Kenia est arrivée à 16H; Je la rejoins dans un bar, c’est le seul truc pour manger. J’appelle ma psy tout en buvant de l’aquarius (sorte de limonade fraîche). Après l’appel, je mange dans le bar et Kenia a fait connaissance de deux pèlerins, un canadien et un français. Ils sont super gentils. C’était un plaisir d’avoir fait un repas avec eux ; on a bien ri de toutes ces aventures. On a rencontré une meuf qui parlait français. Elle est tellement chelou, elle fait des études pour être éducatrice. Je ne la vois pas trop dedans vu son caractère (mdr). Je passe les détails, c’est tellement long. Bref vers 22 h on est tous dans notre lit pour lire et dormir. J’avais tellement hâte de pouvoir enfin me reposer.
Mardi 6 août
Kenia : On ne pouvait pas rêver mieux que d’une meilleure dernière auberge de pèlerins que celle de Lourenza. Son hôte, Paz, a pris soin de N, l’a chouchoutée et couverte de cadeaux et d’amour et de rire. Le stress du retour à une autre réalité que celle de la marche l’a mise dans un état physique et psychologique tel, qu’elle a dormi 12h. après avoir vomi l’intégralité de ses derniers repas pendant que je faisais des crêpes pour les autres marcheurs de l’auberge sur fond de “mais vous êtes malades d’avoir marché autant ! Pourquoi ? pourquoi ?” Le gars avait démarré 15 jours avant et n’en pouvait plus, la “très forte chaleur” du moment n’arrangeant rien. C’est entre guillemets parce qu’il faisait 27°c. Pour la région c’est beaucoup. Mais nous on peut se vanter de dire que c’est de la rigolade.
Vu l’état de N, on a opté pour le bus pour remplacer notre dernière marche jusqu’à la côte où l’on a passé la soirée devant les vagues immenses qui viennent s’éclater contre les rochers et à agir comme des enfants “mais regarde la vague comme elle est grosse !” et celle- là, regarde”. N a une excuse, elle n’avait jamais vu l’océan. Je n'ai pas d’excuse.
Après une nouvelle nuit de ronflements intempestifs en canon, on a pris un bus pour rejoindre Bilbao. Au programme, Guggenheim, magasins, nourriture saine et élaboration de l’album photos de N. Pour les magasins, j’ai réussi à traîner N dans les boutiques de créateurs et les friperies (elle n’a pas compris) et elle m’a embarquée dans les temples de la fast fashion. Elle a par contre entièrement validé la nourriture vegan. Pour ses photos, les labos de Bilbao ne pouvant développer ses pellicules en moins d’une semaine, on a dû se rabattre sur les photos prises avec mon téléphone en attendant que je m’y attelle, avec une belle sélection de mes doigts de pieds.
La dernière nuit à Bilbao est un enfer, mon voisin de lit a frôlé la mort à plusieurs reprises. Ses ronflements d’une intensité qui rendaient les boules quies complètement inutiles lui ont valu d’être secoué par moi ou poussé par son voisin du dessous à plusieurs reprises, sans résultat au point que j’ai fini par quitter le dortoir avant de lui jeter un seau d’eau au visage. Une fois parti, N s’est levée et a commencé à faire son sac avant de voir qu’il n’était que 4h du matin. Nous sommes parties 3h plus tard pour rentrer en France et faire notre stage de retour à Toulouse où on retrouve Clémence, responsable de marche.
1550 km parcourus avec nos petits pieds, des tonnes d’animaux, des tonnes de ronfleurs, beaucoup de vomi et de larmes mais simplement une expérience qui pousse n’importe qui dans ses retranchements et dont on en ressort grandi et sans ongle au gros orteil.
Ce week-end, c’est maxi chouchoutage pour la nina, coiffeur, soins, observation des étoiles avant les retrouvailles de lundi. Il y a une suite à cette histoire mais c’est elle qui l’écrira.
Vendredi 9 août
N : Bonjour à tous ! Je sais j’ai pas écrit les dernières marches, mais je voulais faire un dernier petit écrit pour premièrement remercier Seuil et remercier l’équipe à Montfavet, plus particulièrement Wendy et la psy pour m’avoir donné l’opportunité de faire cette marche incroyable. Merci aux accompagnants qui nous ont accueillies au début de la marche, puis nous ont toujours donné des nouvelles au téléphone. C’est une expérience extraordinaire de trois mois, c’est pas rien. Et merci à Kenia (qui va le lire de toutes façons) pour m’avoir supporté trois mois et trois mois à faire un boulot intensif. J’ai hâte d’être à lundi pour la fête de retour, c’est un peu triste, c’est la fin du blog, de la marche, mais je repars avec une bonne volonté avec plein de photos juste trop cool et plein de souvenirs drôles (moins drôles, mais surtout dingues). Cest tout pour moi, merci à tous
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Ma N, tu m'épates de jour en jour. Je n'en reviens pas, de tout ce que tu es capable de faire! Tu te débrouilles magnifiquement ! Bravo! Bravo! Bravo! Cette aventure extraordinaire se termine et j'ai l'impression qu'elle t'a fait beaucoup de bien. Je l'espère en tous cas ...J'ai hâte que tu me racontes tes péripéties et tes rencontres. Tu es une championne! Tu as réussi à aller au bout de cette marche ! C'est ENORME ! Un abrazo ma Nina ! Je t'embrasse très fort . Tata V.
Whaouh... Avec ces événements, tu peux affronter n'importe quoi. Tu assures grave.
Tu devrais t'inscrire à Peking Express 😉
Ton papa. 💋 ❤️