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Marche de Marxxx

Dernière mise à jour : 7 janv.

Marche de Marxxx accompagnée par Roxane

 

Vendredi 20 décembre

 

M : Bonjour, je m’appelle M. J’ai 17 ans. Je suis convaincue de faire l’expérience de marcher car je pense que c’est le moment pour moi de faire ça. Je ne vous mens pas, j’ai très peur car j’ai déjà marché une fois et ça s’était mal passé, mais ça ne veut rien dire. J’ai envie de retenter l’expérience. Je vous dirais si c’est chaud mdr. On s’est tapé toute la route de Lille jusqu’au Puy. C’était bien long. Au moment où j’écris ça, nous sommes encore dans le train

 

Roxane : Bonjour, moi c’est Roxane. J’ai rencontré M hier à Lille. M qui a accepté de marcher avec Seuil comme ça en plein hiver. Sacrée motivation. Un nouveau défi à accepter pour moi.

Après le fabuleux et fastidieux shopping de préparation à la marche, nous avons passé une nuit à Lille hier.

C’est M qui a cuisiné et j’ai beaucoup de chance, c’était délicieux.

Aujourd’hui, après trois trains, nous arrivons au Puy, de nuit, dans un lieu d'accueil immense et presque désert où seules les questions de M résonnent dans les couloirs…. plein de questions car demain c’est le grand jour.

La punchline du jour : “la marche c’est dur, mais la fin c’est sûr”.

 

Samedi 21 décembre

 

M : Ce matin, c’était notre premier jour de marche. On s’est réveillées dans notre gîte d’arrivée. Il y avait des Bonnes Soeurs qui nous ont préparé le déjeuner (c’est la première fois que je vois des Bonnes Soeurs dans la vraie vie). Après, on a commencé à marcher. On a été à la cathédrale. Il y avait des escaliers des longs un peu et une descente. On voyait toute la ville. Ça faisait trop peur lol. J’ai pleuré PTDR parce que j’avais trop peur. Après avoir monté une côte, on voyait toute la ville encore pire, j’ai encore pleuré car j’avais trop peur. Après ça, on est allé jusqu’au moment où on arrive dans un chemin MORTEL. J’ai pas pu marcher dedans, car ça glissait vraiment du coup, on a pris un autre chemin. Après ça on a croisé une rivière et on a mis nos pieds dans l’eau. Après on est arrivées au village du gîte. On a fait un petit tour à l’église (pareil, c’est la première que je vais dans des églises) après on est arrivées au gîte et j’en peux plus de ne pas avoir de téléphone. C’est trop stressant 😡

 

Roxane : Avant tout bravo M ! Ce matin, j’ai bien cru que tu voulais faire demi-tour, mais arrivée en haut de la première côte, tu as enfin souri, fière de toi.

Chers lecteurs, l’après-midi a été plus facile, fraîche mais ensoleillée et finalement on a trouvé un gîte à 10 km de notre point de départ, ce qui nous a permis d’arriver avant la nuit, mais ce qui nous rallonge l’étape de demain. M, se débrouille super bien avec les bâtons. C’est une bonne chose car demain nous en aurons besoin.

Avec son accord, je vous livre sa punchline du jour : “avec le sac, j’peux pas me baisser, je suis comme enceinte du dos”.

On vous laisse, on se chauffe au coin du feu. A demain pour de nouvelles aventures.

 

Dimanche 22 décembre

 

M : Bonjour, tout le monde. Je vous préviens si vous avez peur du vide ou si vous avez tendance à avoir peur ne perdez pas votre temps ne venez pas, ça ne sert à rien, vous allez paniquer. Après ça dépend de chacun, mais si vous avez tendance à avoir peur éviter vous ça.

Hier, dès qu’on est sorties on a dû sortir nos K Way. Il pleuvait dès le matin. J’avais trop mal aux mains à cause du froid. C’était la galère avec la pluie, le vent etc… après on a dû prendre une déviation car il y avait une inondation

Après dans l’après-midi, c’était trop bien. Il a neigé, il y avait des sapins. C’était trop beau, on avait vu des chevaux aussi dans la montagne, on a vu des arbres cassés. Après on a été dans un chemin dans la forêt. C’était grave dangereux. Il m’a traumatisé en plus il n’y avait plus d’indication. On a remonté et il faisait noir et comme par hasard, il a commencé à fort neiger. Supplément signalé GPS perdu ; on a pris le dernier chemin qui nous a été indiqué et heureusement c’était la bonne route ; hamdoulilah on a trouvé le gîte.

 

Roxane : n’a pas écrit

 

Lundi 23 décembre

 

M : n’a pas écrit

 

Roxane : Un message de prévention - avertissement. Ca c’est bien vu M

Hier, effectivement pour notre deuxième journée de marche, nous avons dû affronter un bel éventail de conditions difficiles. De la marche avec la pluie et le vent de face, un refuge dans des toilettes sèches (heureusement propres) dont le cabanon nous a abritées une bonne heure, de la tempête.

Une phase calme l’après-midi à monter, puis re-descendre un chemin forestier sur la neige mi verglacée, mi flaques. A s’émerveiller des flocons qui se déposaient sur les sapins. Une phase angoissante pour M le sentier se faisant étroit et raide dans les racines et les pierres. Une panique et rebrousse chemin à la frontale à la tombée de la nuit.

Une phase dramatique comme dans les films, à chercher au GPS une alternative dans la nuit noire sous une tempête de neige.

Attention à ne pas essayer tout seul à la maison : si on est dans une tempête de neige en forêt avec une frontale et qu’on tourne une fois sur soi-même, on perd tous ses repères.

Bref, on est bien arrivées, vous pouvez imaginer quand même notre soulagement quand on a aperçu un lampadaire au village, magnifique, tout était recouvert de neige.

Aujourd’hui, on est restées au gîte. La neige n’a pas cessé une minute et M avait besoin de temps pour digérer sa frayeur d’hier.


Mardi 24 décembre

 

M : n’a pas écrit

 

Roxane :  Ok, ok, c’est moi qui raconte. Ce matin, on a trouvé un père et son fils pour nous approcher en haut de Monistrol d’Allier et nous avons parcouru 5 km dans la neige. On s'enfonçait parfois jusqu’aux genoux. Mais c’était assez drôle et magique. La glace sur une certaine plante de la montagne nous faisait des misters freeze. A Saugues, nous avons fait des courses pour notre réveillon. Une soirée incroyable entre les heures à chercher un gîte pour demain et M qui tourne comme un lion en cage, en cherchant une issue à ce “bourbier”, comme elle dit.

Allez, on va quand même essayer de se détendre pour profiter de notre raclette de Noël au saumon fumé

 

Mercredi 25 décembre

 

M : Après ces jours de marche, j’ai remarqué ou j’avais l’impression de vivre un jour à l’infini parce que tout est blanc et les sapins se ressemblent, mais dès qu’on arrive au gîte, je fais la différence des jours comme on dort dans des endroits différents. Tout à l’heure, le monsieur du gîte m’a ramené une télé. Je suis refaite du coup. Actuellement, on regarde la télé en faisant des lessives. Quelle vie !

 

Roxane : Oui, oui, oui, ce matin on a bien, comment dire, traîné ; comme c’était jour de Noël nous ne sommes pas dépêchées comme d’habitude. Et M encore moins. Bref, on a mis tellement de temps, qu’on s’est fait gentiment mettre dehors.

On a coupé l’étape car au Sauvage, on nous avait dit que ce n’était pas praticable, au téléphone, à cause de la neige. Et comme on n’est pas très rapides… on a commencé au col, par la route. A la Chapelle Saint Roch, pour ceux qui connaissent. Et sa fontaine miraculeuse, mais surtout gelée.

Bon, M a marché 2 km, moi 10 km, comme on est censé marcher ensemble, vous remarquerez un petit bug mathématique.

Au gîte, on a été super bien accueillies et on a parlé avec notre hôte un bon moment même, je crois que c’est la première fois qu’on a une vraie discussion avec quelqu’un en fait. Waou !


Jeudi 26 décembre

 

M : n’a pas écrit

 

Roxane : C’est le premier jour qu’on discute avec autant de monde, trois personnes. Éric du gîte, André le voisin et Gérard, l’éleveur de Chensy. On a l’impression de connaître tout le monde dans le village. L’asphalte, sur une rue en pente à l’ombre, ça glisse énormément. On s’est fait quelques grands écarts. On nous a parlé du cimetière des fous. Curieuses, on est monté voir. On a vu le château, l’hôpital psychiatrique, mais on n’a pas trouvé le cimetière. Par contre, en revenant, sur une façade de l’hôpital, une trentaine de visages et de mains de plâtre, visages grimaçants, hurlants ou angoissés, avec les mains sur les oreilles ou sur les yeux ou même se mordant les mains… Super rencontre, ça valait bien la visite du cimetière. Ou alors est-ce ça que les gens nomment le cimetière des fous ?

 

Vendredi 27 décembre

 

 M : André nous a proposé de nous déposer ce matin un peu en avant. Ce matin, il faisait beau, on a marché dans la forêt. Il y avait des chemins, certains étaient faciles et certains pentus et creusés, mais ce n’était pas trop dur. Après il y avait des flaques d’eau gelée ; c’était satisfaisant de les casser avec les bâtons de marche. On a aussi rencontré des marcheurs qui étaient dans notre gîte. Enfin, on n’a pas rencontré un pèlerin avant aujourd’hui et hier à Saint Alban. On était dans des endroits déserts et abandonnés.

 

Roxane : Toutes ces belles flaques …. tellement lisses qu’elles ressemblent à du verre, ça nous a égayé la marche qui commence à prendre son rythme. Au son des pas qui craquent et des flaques qui éclatent. En arrivant on a pris une boisson au café, on a rencontré un pèlerin, un peu bizarre, on s’est posées, discuté, au gîte où j’avais déjà fait escale, chez Romain. A un moment, en voyant Romain avec ses béquilles et le pèlerin qui venait de tomber dans l’escalier, on s’est regardé avec M en se demandant quelle malédiction rodait par ici ! La proximité d’une gare titillait les envies contradictoires de M. Après une pizza au restaurant, une partie de fléchettes et un Uno, on se pose et se repose.

 

Samedi 28 décembre

 

M : Aujourd’hui, il faisait beau. On est monté sur le plateau de l’Aubrac. On a dû pendant un moment passer en dessous des barbelés car il y avait un pont qui s’arrêtait et au bord il y avait de l’eau et de la glace. C’était une rivière. On a marché toute la journée. Je n’en peux plus d’ici. J’ai mal aux cuisses, pieds, mollets, épaules. J’ai envie de sortir, mais je suis dans un foking village où il n'y a qu'un bar et dans le bar il y a deux vieillards.

 

Roxane : Non, rien de rien. Non, ici, il n’y a rien. Bien sûr, on croise bien quelques vaches, mais même les toilettes et les fontaines des villages sont fermées. Même l’eau des cimetières, rien, walou. Même si les pontons ne sont pas complets, ils débouchent sur des piscines glacées avec des icebergs dedans. Heureusement, c’est beau, mais du genre très très beau, ce désert à moitié enneigé à moitié ensoleillé (M n’est pas d’accord). Nous sommes arrivées à la tombée de la nuit, ça faisait des brumes blanches au sol sur un ciel violet - orange. Et le soir, nous sommes accueillies par nos hôtes comme si on se connaissait déjà. C’est très chaleureux l’hiver

 

Dimanche 29 décembre

 

M : Même chose que d’habitude à part que j’ai récupéré mon muscle du mollet et ça fait mal et on a retrouvé un marcheur dans le gîte.

 

Roxane : Départ après-midi, l’envie de marcher par ce temps ensoleillé n’était pas trop au rendez-vous. D’incompréhensions en prises de bec, un éclair et motivation surgissent et nous voilà côte à côte, soleil dans la face, bruit des bâtons. Nous croisons quelques marcheurs, on est dimanche, et quelques chevaux. L’herbe est trop cramée par le soleil et la neige, ils ne veulent pas de celle qu'on leur donne. Ce soir, on est cinq dans le gîte. On retrouve un pèlerin blessé et un peu étrange qu’on avait rencontré On termine cette journée par une dégustation, des plats locaux, aligot et truffade.

 

Lundi 30 décembre

 

M : On a marché encore sur le plateau. Aujourd’hui on n’a pas beaucoup marché. Après on a fait du stop pour avancer car c’était trop haut et il restait 23 km. Il était déjà 19h. J’ai envie de rentrer. Je ne sais pas trop à quoi va me servir cette marche et j’ai envie de retrouver mes habitudes de chez moi.

 

Roxane : “Non, écrit le, toi, ça reste sur le blog ce que t’écris toi ?” me dit M. Ce soir, on a éteint la télé et on a regardé les photos des dix derniers jours. Oui 10 jours déjà et il faut qu’on se rappelle de tout ce qu’on a déjà vécu, qu’on en reparle, les aventures, les rencontres, les progrès, nos délires, l’assurance que prend M dans la marche. Les doutes aussi. Chaque jour. Quel sens donner à tout ça ? On a dit adieu à l'Aubrac cet après-midi et probablement à la neige aussi. On arrive dans la vallée du Lot. Deux nouvelles marcheuses rencontrées au gîte. Les discussions s’étoffent et l’horizon s’ouvre.

 

Mardi 31 décembre

 

M : Bonne année tout le monde 🧡 🧡🧡 Aujourd’hui, on n’a pas marché, on s’est baladé à Espalion, on a vu la rivière ; elle était grande, on a aussi rencontré Dominique qui m’a donné une clémentine de son épicerie, on a parlé avec lui. Il était gentil, on est rentrées dans une église qui était un peu rouge grise ; elle avait une belle architecture. Après on est rentrées. Je suis partie faire un petit tour autour du gîte et on a passé la fin de la journée avec d’autres personnes du gîte. On a passé un bon moment. C’était l’une des meilleures journées.

 

Roxane : Après cette matinée compliquée, à tout voir en négatif, ça fait plaisir de lire que cette journée a été bonne. Et quand on en reparle, il y a eu des moments agréables de marche, de discussions sur la route, des rencontres… Il faut souvent qu’on fasse ce travail de mémoire pour que tout ne se colore pas de noir dans ces matins difficiles. Les couleurs d’Espalion, les boutiques, les rues un peu animées, les ponts sur le Lot ont plu à M. La ville ça lui manquait. Un gros supermarché aussi. Notre réveillon au gîte avec le pèlerin que l’on connaît et une jeune marcheuse, est sympathique, on discute, on rit, un lien commence à se tisser, on partage aussi notre nourriture, cela demande un petit effort pour M. Quelques pétards résonnent à minuit, l’un de nous sort à la salle des fêtes, mais nous sommes d’accord pour rester au chaud.

 

Mercredi 1er janvier

 

M : Aujourd'hui, j’ai rien fait de spécial. J’ai dormi toute la journée

 

Roxane : Ce matin, grasse matinée, mais pas de gaîté de coeur. La jeune pèlerine dynamique d’hier soir part marcher sous un soleil radieux, nous passons la journée avec le pèlerin complètement saoul, toute la journée. M se réveille un peu et se recouche. Je pars me balader sur les collines autour du village un moment, prendre l’air. Les deux pèlerins belges qui devaient dormir là ont pris peur face au scénario en cours dans le gîte, télé allumée, bouteille de rouge sur la table et volets fermés à 16h dans le dortoir avec quelqu’un sous la couette. Quand je les rencontre, ils viennent re-chercher leurs affaires, ils ne veulent pas dormir ici. Quand la télé est enfin éteinte, nous passons un bon moment à discuter, à lire et à écrire, avec M.


Jeudi 2 janvier

 

M : Aujourd’hui, rien de spécial. On a repris la route, on n’a pas marché beaucoup, on a rencontré une dame qui s’appelle Christine qui est avec nous dans le gîte.

 

Roxane : Rien n'était sûr avant midi, mais finalement, nous repartons pour une étape le long du Lot pour rejoindre Espalion, à 9 km. Facile

Nous rencontrons Christine au gîte et décidons d'aller manger ensemble tous les trois, mais aucun restaurant n’est ouvert, il pleut. M a mal aux pieds dans ses claquettes et nous finissons par nous rabattre sur une de ces machines à pizzas 24/24. Je n’avais jamais encore exploré l’intérêt gustatif de ces pizzas faites par un robot.

Nous installons notre chambre en salle de restaurant pour accueillir notre invitée et mangeons toutes les trois notre pizza froide et bien grasse. Mais l’essentiel c’est bien d’avoir trouvé à manger ensemble au chaud.

 

Vendredi 3 janvier 

 

M : Aujourd’hui, c’est la fin du voyage. J’ai choisi d’arrêter pour arrêter d’hésiter. Je ne veux plus marcher, mais j’ai pas non plus envie de rentrer à Lille mdr. C’est passé quand même vite même si quand on marchait c’était long. Je pense que c’est suffisant ce que j’ai fait. Du coup, là on est parti à Rodez là où il y a la gare. On a mangé, ça fait trop bizarre d’être en ville. Du coup, voilà au revoir les amis. Bonne chance au suivant. J’espère que ça vous plaira.

 

Roxane : Oui pas facile de faire des choix. En même temps quand ça ne veut pas, ça ne va pas, si on n’a plus envie de se lever le matin, c'est que c'est pas ça.

La marche ça plait à certains, à d’autres moins. Et c’est vrai qu’en hiver on ne trouve pas l’agitation du dortoir et les pèlerins qu'on a rencontrés qui se lèvent aussi pour marcher.

Le seul qu’on ait rencontré, il s’est cassé des côtes le même jour en tombant dans l’escalier et on l’a vu plusieurs fois, il était complètement alcoolisé. Pas méchant mais pas le genre avec qui on a envie de poursuivre.

Alors si le choix c’est de s’arrêter là, on profite des derniers moments, un coup d’oeil en arrière nous permet de revoir les forêts et les flocons qui tombaient, le bleu du ciel, les flaques gelées et le bruit quand on les cassait avec nos bâtons.

Demain, tout va aller très vite, on va retrouver Célestin, le responsable de marche, pour discuter, débriefer, puis M retrouvera sa chambre, ses éducateurs et son téléphone et repartira pour de nouvelles aventures. Et moi de même.

Du train de nuit Rodez-Paris, salut chers lecteurs, merci pour votre attention et votre soutien invisible.





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2 Comments


mecsspriettheia
Dec 27, 2024

Bonjour,

Tu as de la chance, tu vas terminer l'année 2024 et commencer l'année 2025 avec un super paysage. Tu as fais preuve de beaucoup de courage, tu peux être fière de toi.

il faut continuer tu peux y arriver, nous croyons en toi. Belles fêtes de fin d'année à toi et Roxanne, à l'année prochaine. Bisous, Murielle.

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mecsspriettheia
Dec 24, 2024

Bonjour M et Roxanne,


M. tu as fait le bon choix pour la marche. Tu es tout a fait capable d'y arriver, tu peux nous surprendre. Nous croyons en toi car tu es pleine de potentiel et de ressources. Nous sommes de tout coeur avec toi. Bisous, Murielle, Sophie, Aurélie, Mireille.

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